14 Septembre 2012
Petite fleur à peine
éclose
Entre les massifs, tu
t’ouvres
Tu illumines les
alentours
Ta chaleur
m’enveloppe
Je me sens si bien
près de toi
Tu me réconfortes de
ta présence
Je viens chaque matin
après la rosée
Je te caresse du
regard
Tu te mets à danser
dans un souffle léger
Tu serais prête à me
donner ta vie
A te couper les
jambes
Juste pour me rendre
heureux
Petite fleur tu es si
belle quand tu te mets à danser
Le vent s’engouffre
sous tes pétales dorés
Petite fleur, si
douce, pas d’épine sur ton corps
Tu n’as pas peur des
autres ni même de la mort
La fin était proche,
tu le savais
Tu m’as donné tout
ton amour
Ta joie de vivre, des
souvenirs,
Maintenant fanée, je
n’ai plus de doute
La vie est tellement
courte
Sous un verre je t’ai
couché
Auprès de mon lit, je
continue à t’aimer
Petite fleur tu es si
belle quand tu te mets à danser
Le vent s’engouffre
sous tes pétales dorés
Petite fleur, si
douce, pas d’épine sur ton corps
Tu n’as pas peur des
autres ni même de la mort
Ma rose blanche, mon
éternité
Je ne t’oublierai
jamais
Tu brilleras dans mon
cœur, dans mes pensées
Tu resteras mon
soleil, ma force d’exister
Petite fleur tu es si
belle quand tu te mets à danser
Le vent s’engouffre
sous tes pétales dorés
Petite fleur, si
douce, pas d’épine sur ton corps
Tu n’as pas peur des
autres ni même de la mort
Aurélia Lanneau - Novembre 2007